Récemment, j'ai eu une transaction qui est malheureusement tombée au financement. C'était vraiment tellement dommage parce qu'on était dans une situation, comme tu le sais, de surenchère. On était 10 offres. Mes clients étaient vraiment, vraiment très mûrs, très prêts à passer à l'action. Donc, ils ont bien suivi mes conseils. On a gagné contre 9 autres acheteurs.
Et finalement, cette transaction est tombée au financement puisqu'il y avait des petites choses qui n'ont pas été vérifiées. C'était avec un courtier hypothécaire que je ne connaissais pas parce que les clients l'avaient déjà contacté avant de me rencontrer.
Donc, on en a parlé justement avec Chantal. J'en ai parlé et je lui ai dit : « Tu vois, si je travaillais avec toi, si c'était toi sur ce dossier, je n'aurais pas eu ce genre de mauvaise surprise. » En fait, c'est tout à fait vrai. Moi, je valide autant le crédit que les revenus, que la mise de fonds.
Et je pense que dans cette situation-là, ce qu'Agnieszka vient de mentionner, c'est que le crédit n'avait pas été validé. Donc, le courtier hypothécaire a toujours la liberté d'écrire une lettre et de me dire : « Selon les informations que vous me donnez, vous pouvez acheter une maison de tel prix. » Mais le crédit est super important parce que ça définit souvent la capacité, ça limite. Puis carrément, ça peut faire en sorte qu'un dossier peut être refusé.
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